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 Giornale di Tristano Carvelizzi

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MessageSujet: Giornale di Tristano Carvelizzi   Giornale di Tristano Carvelizzi EmptyDim 31 Oct 2010 - 23:31

Carte d'identitée


Prénom : Tristano
Second prénom : Cantonio
Nom : Carvelizzi
Blaze : La Salade
Age actuel : 31ans
Taille : 178cm
Signe(s) Particulier(s) : Cheveux verts



Chapitre I

Je m'apelle Tristano Carvelizzi, j'suis d'origines Franco/Siciliennes, ça fais maintenant 26 ans que je vis à New-York, j'ai pas beaucoup de souvenirs sur ma vie d'avant, à part que j'ai été élevé jusqu'à l'âge de 5 ans sans jamais voir mes parents. Je vivais dans une famille d'accueil en Sicile avec mes deux frères Viccenzo et Cedric. Mes parents eux, travaillaient en France. Ma mère était couturière et mon père avocat, on nous a caché leur existence jusqu'au jour où on a dût les rejoindre en France, à Orléans. On ne les connaissait pas, on a vite apprit à vivre avec eux malgré les grands changement que ça nous a fais. En effet, passer de la vieille baraque pourrie à la grande maison française de luxe ça faisais énormément de changements.. A mes 6 ans, ma mère est morte dans un accident de voiture. Le seul souvenir que j'ai d'elle, c'est son prénom; Sofia. Alors au bout d'un an mon père décida d'immigrer en Amérique pour devenir plus riche qu'il ne l'était.. Moi et mes frères on a dût apprendre l'anglais et aller à l'école. C'était.. Le "rêve" américain.

Chapitre II

Au début on a emménagé dans un appart chic du centre-ville de New-York, puis, peu à peu mon père devenait de plus en plus riche.. Il partait tôt le matin et rentrait tard le soir. On a vécu deux ans dans cet appart, après ça mon père s'est acheté une énorme Villa qu'il nomma Hotel di lusso Carvelizzi. Puis un jour, un collègue de mon père est venu nous chercher au collège, j'avais 13 ans, il nous emmena à l'hôpital. Arrivé à l'accueil, il demanda le numéro de la chambre de mon père, c'est là que je compris que quelque chose de grave était arrivé. Nous nous dirigeâmes vers la chambre de mon père, quand l'homme ouvrit la porte, ce fût un cauchemar pour mes yeux, mon père avait été blessé par balles et retrouvé sans connaissance dans une des rues de New-York, il était dans le coma. Plusieurs jours plus tard on nous annonça qu'il était mort, il n'a jamais été enterré, on a jamais revu son corps, il n'y avait plus aucune trace de cet homme qui était mon père dans ce monde, c'est un ami à lui qui s'est longtemps occupé de nous, je me suis juré qu'un jour je retrouverai celui ou celle qui a fait ça et mettrai fin à ses jours..

Chapitre III

On a donc appris à vivre sans parents, l'homme qui était censé s'occuper de nous; Alessandro Borgia, était présent seulement deux heures par semaines, alors quand y'avait des conflits entre frères, personne n'était là pour les règler.. Y'a une baston avec mon frère Viccenzo dont je me souviendrai toute ma vie.. On avait commencé à nous battre dans la cuisine pour je ne sais quelle raison. Au final, il m'a poussé contre une étagère et un peau de teinture verte m'est tombé sur la tête.. On a tout essayé c'est jamais partit, m'enfin bon, j'écris pas ce journal pour raconter mes bastons avec mes frères. On a grandit comme ça, à trois dans un énorme manoir jusqu'à notre majorité. A mes 17 ans j'ai commencé à vendre de la daube et à cambrioler des épiceries ou des bijouteries avec mes frères, et un jour, on a vraiment pas eu de chance..

Viccenzo : C'est bon j'ai tout vérifié, y'a pas d'flics ici, pètes la vitre !
Tristano : T'es sûr ?
Viccenzo : Mais ouais, t'inquiètes pas, j'te dis que y'a personne !
Tristano : Ok.. ça va t'énerves pas.. *brise la vitre*
Viccenzo : Allez fous les bijoux dans mon sac !
Cedric : *Arrive en courant* Putain Vince', y'a les flics ! Magnez vous l'cul, on s'casse !


On courut pendant près d'une demie-heure pour finalement arriver à une impasse..

Tristano : Chier, un cul de sac !
Viccenzo : Merde.. on est foutut !
Agent de police : Posez ce sac ! Vous êtes en état d'arrestation !


Et soudain, un coup de feu surgit de nul-part, l'agent de police s'écroula au sol. Puis un homme en costard chic sortit de l'ombre..

Homme : Allez les gars, faut pas traîner ici ma caisse est au coin de la rue !

Nous le suivirent sans poser de question, même si on ne le connaissait pas et qu'on ne savait pas où il nous emmenait..

Chapitre IV

Viccenzo : Et.. sinon, qui êtes-vous ? On se connait ?
Homme : Vito Ancelotti, Don de la famille Ancelotti et grand ami de votre père.
Tristano : Don ?
Vito : Oui, Don, chef d'une organisation mafieuse si tu préfères.
Tristano : Ah.. ouais. Et là vous nous emmenez où ?
Vito : Au manoir de ma famille, vous devez vous reposer. Pour la suite je vous propose quelque-chose, travaillez pour moi et je vous garde sous ma protection, sinon partez et risquez d'aller en prison ou de vous faire tuer.
Viccenzo et Tristano : C'est d'accord, on va bosser pour vous.
Cedric : Mais vous êtes fous ?!
Viccenzo : Cedric, après ce qui nous est arrivé ce soir, on peut pas rentrer, y'a eu plusieurs témoins et on est plutôt connus dans le coin, on finira en taule si on accepte pas la proposition de monsieur Ancelotti.
Cedric : Bon.. je marche.
Vito : Voilà, on arrive.


Nous sortions de la voiture, on était dans un grand jardin fleurie. Au milieu, un énorme manoir. Monsieur Ancelotti nous invita à entrer, nous le suivions et au moment où nous entrâmes, nous étions stupéfaits par le luxe du hall du manoir. Monsieur Ancelotti nous indiqua nos chambres à coucher qui se tenaient à l'étage et nous dit de venir voir Wayne le lendemain pour qu'il nous trouve un boulot.

Chapitre V

Le lendemain matin, dès la première aube, nous descendirent au hall pour trouver ce certain Wayne. Un homme sinistre était assis seul à une table, j'engagea la conversation :

Tristano : Euh.. Bonjour monsieur, savez vous où puis-je trouver monsieur Wayne s'il vous plaît.
Homme : Vous l'avez devant vous, vous êtes sûrement les trois frères Carvelizzi ?
Tristano : Euh, oui c'est bien nous.
Wayne : Ok, j'ai pas envie de perdre de temps, j'vous explique l'affaire. Hier, des hommes à nous vendaient des clopes sur Midville et un gang du coin est arrivé les a tous buté et est partit avec la marchandise. J'veux que vous me liquidiez tous ces enfoirés et si possible récupérer notre marchandise, si c'est fait correctement, je ferai en sorte de vous faire entrer dans la famille.
Viccenzo : Bon, on prend.
Wayne : Vous avez cas prendre ma caisse, elle est garée juste devant le manoir, mais attention, pas de casse !
Viccenzo : Ca marche.


On prit la caisse de Wayne et nous nous dirigeâmes vers Midville, c'est là qu'on vit le camion de clopes garé à côté d'un bar.

Tristano : Fouilles dans la boîte à gants, doit y'avoir des armes.
Viccenzo : Tenez, ça nous fait un calibre chacun.


Nous entrâmes dans le bar et demandions au barman où se trouvait le boss du gang local, il nous indiqua l'escalier. Nous montions l'escalier lorsqu'un gangster lança un cadavre du haut de celui-ci. Le gangster repartit s'asseoir à une table, trois autres gangsters dont un chiquement habillé étaient assis à cette table. Nous nous approchâmes de la table..

Tristano : C'est vous le boss du gang local ?
Gangster : Ouais qu'est-ce que tu m'veux sale rital ?
Tristano : *sors calibre* Vous avez le bonjour de Monsieur Ancelotti.


Je tua le boss d'une balle dans la tête et mes frères s'occupèrent des deux autres gangsters, les gens assis sur les autres tables poussèrent des cris de terreur et partis en courant. Nous descendîmes l'escalier et trouvâmes un téléphone. On appela Wayne pour lui dire de venir récupérer sa caisse en rentrâmes au manoir avec le Camion de clopes.

A suivre..


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Mr.Titan
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MessageSujet: Re: Giornale di Tristano Carvelizzi   Giornale di Tristano Carvelizzi EmptyLun 1 Nov 2010 - 18:33

Très belle histoire.
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Freagz
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Freagz

Loisirs : BB85

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MessageSujet: Re: Giornale di Tristano Carvelizzi   Giornale di Tristano Carvelizzi EmptyLun 1 Nov 2010 - 18:34

Exact, belle histoire. Bien rédiger. J'aime Giornale di Tristano Carvelizzi 396789
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Mr.Cyprento
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MessageSujet: Re: Giornale di Tristano Carvelizzi   Giornale di Tristano Carvelizzi EmptyJeu 25 Nov 2010 - 23:27

J'adore^^ .

Evite remontage ..
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MessageSujet: Re: Giornale di Tristano Carvelizzi   Giornale di Tristano Carvelizzi Empty

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